BLANC DE LA NAISSANCE À LA MONTÉE SUPRÊME 29 août 201431 octobre 2014 | Louise Hudon BLANC DE LA NAISSANCE À LA MONTÉE SUPRÊME De la salle d’attente on entend des cris Et voilà le calme, place aux rêveries. Un enfant est né, ange du berceau Habillé de blanc. Ah ! Comme il est beau ! Un teint laiteux et une belle peau de pêche Autour de nous, personne ne nous empêche De caresser une mèche de ses cheveux. Admiratifs, pour lui on fait des vœux. Qu’il fasse le bien, gardant son innocence, Simplicité au cours de sa croissance. Il donnera l’exemple le jouvenceau Dans ce monde qui connaît trop de chaos ! Il mettra de l’ordre et de la beauté. On se sentira bien à ses côtés. Son aura blanche signifiant la vérité, On constatera vite ses qualités. Plusieurs le suivront dans sa grande croisade. Il sera connu dans bien des bourgades, Annonçant l’espoir pour l’humanité. Oui, tant de labeur avec gratuité ! Ses grandes mains blanches serreront celles de d’autres Surtout en ce qui a trait aux apôtres. Ces derniers accompliront une mission, Subissant parfois de l’humiliation. Beaucoup de courage, beaucoup d’assurance, De l’amour à donner sans préférence. Parlons vocation plutôt que travail Pour s’encourager, place aux retrouvailles. La prière, dévotion très personnelle Peut combattre tout ce qui est criminel, Attirant la pureté dans ce grand monde Dans les pays riches et dans le tiers-monde. Si tous les gens se donnent la main et prient Pour mettre de la paix dans les esprits La blancheur va gagner sur la noirceur Et cela mettra fin aux oppresseurs. Ah ! Soleil ! Illumine notre planète. Naîtront de partout des sourires honnêtes Générosité, bonté et douceur Nous apportant ainsi de grands bonheurs. Et cela à cause de certaines grandes personnes Pour qui, ce jour, toutes nos églises sonnent. Chantons en chœur leurs moments de succès Pour tous les endroits qui connaissent la paix. Rêveries d’un beau jour, se développant Pour tuer ce qui ressemble au serpent Que Marie retient bien de ses deux pieds Pour protéger ses petits va-nu-pieds. Dans sa miséricorde, elle pense à nous. Devant elle nous fléchissons les genoux, Par respect, par amour, par dévotion, La remerciant d’accepter l’expiation. Son immense pardon, loin d’être éphémère, Fait penser souvent à nos propres mères Celles qui nous ont mis au monde et bénis, Remerciant leur Dieu saint à l’infini. Et voilà la nuit, nous prenons de l’âge Nous remerciant d’avoir été très sages. Blancheur et pureté de l’âme lavée Avant la montée, on pense à Yahvé. La construction de sa maison interne, Voulue solide, très chaleureuse, non terne, Présage un avenir au paradis, En fin de vie, après une maladie. Le miroir de l’âme est blanc Et je me mire dedans. Le miroir de l’âme est blanc, tout blanc. Louise Hudon, poétesse Août 2014 Partager :TwitterFacebookJ'aime chargement… En lien
Une naissance … Et le soleil rentre en force dans la maison Très joli poème Bon et doux Dimanche Louise Bisous timilo J’aimeJ’aime
Très bon ce poème! Cela m’apparaît comme positif et c’est bien choisi comme mot! Bien réussi! J’aimeJ’aime
Très beau poème Louise cela nous ramènes ce qui devrais être la réalité. Je t’aime Réjeanxxx J’aimeJ’aime
Une naissance … Et le soleil rentre en force dans la maison
Très joli poème
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Bisous
timilo
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