LA PLUIE SUR MON CORPS

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LA PLUIE SUR MON CORPS

 

REFRAIN :

Tombe la pluie près de moi,

J’attends et je pense à toi.

Tombe la pluie sur mon corps,

Je tremble de froid, dehors.

 

 

Le jour où je t’ai rencontré,

Remarquant beaucoup ton entrée,

Voilà mon âme-sœur, ai-je pensé,

Et notre histoire a commencé.

 

La douceur du visage aidant

Et mon intuition me guidant

Nous nous lançons dans l’aventure

Sans connaître la déconfiture.

 

 

REFRAIN

 

 

Il vente et la fraîche m’entoure.

Une averse lors de ton retour

A surpris ce précieux moment,

Un instant de notre roman.

 

Tu travailles loin de moi, amour.

Malgré qu’on se parle tous les jours

Je réclame ta présence, ami

Et ta compagnie cher mari.

 

 

REFRAIN

 

 

Dans la chaleur de tes grands bras,

Bien rassurée dans ton aura,

Les yeux fermés dans mon bonheur,

J’apprécierai chacune des heures.

 

Viendront des vacances méritées,

Il faudra bien en profiter.

La vie est courte et surprenante,

Très fascinante ou chagrinante.

 

 

 

REFRAIN :

Tombe la pluie près de nous

Marchant tous deux dans la boue

Irradiée par le plaisir

Grande fête de t’accueillir.

 

Tombe la pluie sur nos corps

Même s’il fait frisquet dehors

J’oublie mes frissons de froid

Je ne peux cacher ma joie.

 

 

 

Louise Hudon, poétesse et parolière au Canada

Tous droits réservés

21 février 2017

 

 

 

 

JEUX COMPULSIFS

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JEUX COMPULSIFS

  

Les machines attirent mon regard.

Tout se passe trop vite, dans un brouillard.

Une brume me cache ma réalité.

Je dépense comme un être exalté.

 

Lorsque l’action se termine enfin

Pour réaliser que j’ai une faim,

Je m’aperçois que je n’ai plus rien.

Je frissonne, froid sibérien.

 

Mon moral en prend un coup, mon frère.

Tous ces jeux sont là pour me distraire.

Aimantés, ils m’enivrent et me charment.

Il n’y a en moi aucune alarme…

 

Mes poches et mon compte de banque sont vides.

On remarque ma figure trop livide.

Ma femme et mon enfant vont souffrir.

Il m’arrive de souhaiter mourir.

 

L’appât d’un gain trop facile me tente.

Émotions intenses, non une détente…

La grande roue tourne et j’espère en vain.

Voilà… Je me sens près d’un ravin.

 

Je dois soigner cette accoutumance,

Me guérir pour une bonne performance,

Troquer mon malheur par du bonheur,

Ne pas succomber, lutter chaque heure.

 

 

 

 

Louise Hudon, poétesse et parolière au Canada

Tous droits réservés

19 février 2017

 

 

GRANDE TRISTESSE

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GRANDE TRISTESSE

 

REFRAIN: 

Son âme s’est envolée

Nous en sommes affolés !

Pas eu l’ temps de lui dire…

Je voulais l’accueillir.

 

La vie est courte, amis !

Prenez soin des mamies.

Leur sourire peut cacher

Une santé relâchée…

 

Ces petits oiseaux chantent

Pour nos mères attachantes.

Leurs notes les accompagnent

Loin de leur belle campagne.

 

REFRAIN 

 

Je ressens un grand vide.

Mon visage trop livide

A perdu ses couleurs

À cause de ma douleur.

 

Ma maman de là-haut

M’évitera des chaos.

Dans mon cœur elle vivra,

Augmentant mon aura.

 

REFRAIN:

Cette force supplémentaire

Provenant de ma mère

Servira aux enfants

Dans ce monde étouffant.

 

 

Merci maman.

 

 

Louise Hudon, poétesse et parolière au Canada

Tous droits réservés

16 février 2017