
Les traumatismes de nos ancêtres vivent encore en nous,
et figurez-vous que ce que découvre la science sur la mémoire cellulaire,
va bien au-delà de ce qu’on imaginait ! 🧬
On en parle ce mercredi 26 février à 20h sur Inexploré,
lors d’un direct événement avec Véronique Brousse, Sonia Krief et Alexandra Metaireau,
mais je vous partage ci-dessous un extrait du livre,
« »Les mémoires du corps » », de Myriam Brousse,
pour vous en convaincre…
« La matière : c’est là que tout se passe.
Voici quelques exemples d’expériences scientifiques qui en sont la preuve.
Des chercheurs de l’université de Genève ont analysé
le sang de personnes ayant subi un traumatisme important :
viol, tremblement de terre, guerre, maltraitance…
Ils ont découvert que ces épisodes malheureux ne laissent pas
seulement des cicatrices sur notre peau.
Notre ADN s’en trouve modifié.
Or cette modification se retrouve jusqu’à trois générations ou plus après le drame.
Et très souvent, c’est la troisième génération qui porte la trace la plus importante,
alors que le souvenir conscient s’est parfois effacé.
La matière présente une capacité de mémorisation absolument
infinie,
car elle se passe de mots. »
😶🌫️ Entre science et spiritualité, il n’y a désormais qu’un petit frisson…
Texte pris sur LINKEDIN, publié par Sébastien Lilli, 25 février 2025.
J’espère que vous allez trouver cela intéressant.
Dr H.C. Louise Hudon, écrivaine, Canada
