Ce petit être qui vient au monde
On joue avec lui à la ronde
Éduquons-le avec protection,
Éloignant de lui tout abandon.
Il a besoin d’être soigné,
Pomponné et bien dorloté,
Fragile et très dépendant,
Son cerveau est très brillant.
Sans cesser de voir ses parents
Qui lui évitent de grands tourments,
C’est d’eux qu’il apprend constamment,
Ses yeux observent, évidemment.
Ils ont leur petit monde à eux,
Imaginaire et bien heureux
Mais quand ils ont un gros chagrin
Ils nous réclament un gros câlin.
Viens dans mes bras mon cher petit!
Pour toi je donnerais ma vie.
Tu es le plus beau des présents!
Remercions Dieu assurément.
La famille est un grand noyau.
Sauvegardons-la comme il faut.
C’est nécessaire pour l’équilibre
De tous ses membres très fragiles.
Louise Hudon 