MON ENFANT
Je me souviens de l’émission « Candy »
Sacrée pour nous deux, et ce, les samedis.
Tu m’as joué un bel air de piano
« Lettre à Élise » comme le chant d’un moineau.
Je t’aime énormément fille aimée.
Des moments d’amour, il faut programmer.
Ton éloignement me fait beaucoup souffrir.
Je veux te chérir, avant de mourir.
Les Noël passés dans la parenté
Qu’on pourrait qualifier de mouvementés
Et ceux vécus dans notre Abitibi
Toi très jolie dans tes plus beaux habits.
Je lance dans le vent mes beaux sentiments
Si fière de toi, reçois mes compliments.
Tu as à apprendre encore de la vie
Mais je ne suis pas inquiète pour ta survie.
Louise Hudon, poétesse au Canada
Tous droits réservés
16 avril 2017