
ENSEMBLE, IL FAUT S’EN SORTIR
Ouvrons-nous les yeux sur notre économie.
Tout est trop cher en ce temps de pandémie.
Nous redoutons maladies et pauvreté.
Mental perturbé dans la communauté.
Augmentation de la criminalité.
Manque de sécurité, nervosité.
Beaucoup trop d’impatience dans les familles.
On se dispute souvent pour des broutilles.
Dérangement et chaos dans nos écoles.
Des enfants malades arrivent et on s’affole.
Difficultés à trouver des bénévoles,
Dans beaucoup d’endroits et dans nos métropoles.
Il faudrait enfin parler des solutions.
S’améliorer, prendre des résolutions.
Les maladies mentales sont à soigner.
Dans le système, trouvez des employés.
Je cherche encore du positif à vous dire…
Plusieurs d’entre nous se devront de grandir.
Remplacer le rejet par le mot respect,
Car je la pense fragile notre paix.
N’accusez pas facilement le voisin…
Un comportement hostile, c’est malsain.
Vous vous dites racistes, donc supérieurs…
Prônons l’égalité entre travailleurs.
Il faudra oublier la couleur de peau
Qui n’est pas un critère dans les propos.
Beaucoup, nés au Québec, se sentent blessés.
Ça suffit, maintenant, il faut progresser.
Nous devons nous percevoir « famille humaine »,
Égalitaire, sans attitude hautaine.
Voilà la base de notre réussite.
Nous nous en sortirons, je vous félicite.
Ce texte concerne la minorité
Qui peut nuire à notre prospérité.
Les citoyens veulent la maturité,
De la sagesse, de la sérénité.
Merci de me lire!
Dr H.C. Louise Hudon, poétesse du Canada
Tous droits réservés
15 novembre 2022
MESSAGE À MES LECTEURS :
Des gens s’expriment avec agressivité, sans respect, au point qu’on peut parler de cruauté, et ce, au nom du mot « LIBERTÉ ». Ce n’est pas ça, la liberté. Il n’y a pas si longtemps, j’ai dénoncé l’esclavage en Syrie. Vive l’autonomie mais les règles de certaines personnes sont irrecevables. Au nom du mot « LIBERTÉ », je conteste ces comportements. Beaucoup quittent TWITTER par dégoût de ce qu’ils peuvent lire…
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« Tous les droits, toutes les libertés sont susceptibles d’être limités. Au Québec, l’article 9.1 de la Charte des droits et libertés de la personne prévoit que « les libertés et droits fondamentaux s’exercent dans le respect des valeurs démocratiques, de l’ordre public et du bien-être général des citoyens du Québec. La loi peut, à cet égard, en fixer la portée et en aménager l’exercice ». Une décision rendue la semaine dernière par la Cour d’appel explique comment on s’y prend pour déterminer si des limitations imposées par une loi ou un règlement à un droit ou une liberté sont raisonnables et justifiables.
Les débats sur les limites qui peuvent être imposées aux droits et aux libertés sont souvent difficiles. Il est fréquent que chacun les aborde en fonction de sa propre conception de ce que protège ou ne devrait pas protéger tel droit ou telle liberté. Dans les sociétés pluralistes, ces débats mettent en cause des visions du monde et des valeurs qui ne concordent pas toujours. Mais dans une société qui accorde une protection constitutionnelle aux droits et libertés, ce sont les tribunaux qui sont chargés de trancher les désaccords et qui déterminent le sens et la portée obligatoires des droits et libertés. »
LE DEVOIR
Chronique de Pierre Trudel
17 septembre 2019
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Le premier paragraphe de la chronique de monsieur Trudel rejoint mon opinion. Malheureusement, il y a beaucoup trop de citoyens qui semblent ignorer la signification du mot « LIBERTÉ » avec des limites acceptables dans notre beau pays qu’est le Canada. Ceux qui ont des « VALEURS » et qui veulent les défendre pourraient lancer le débat, malgré les difficultés que cela représenterait…
À cause d’une minorité, quelle image donnons-nous de notre pays au niveau international? La question se pose et elle se pose même au niveau de tous les CANADIENS. Aimons-nous cette image?
Merci de votre attention!
Dr H.C. Louise Hudon, poétesse du Canada
La Sarre. – Abitibi Ouest. – Québec. – Canada