
Photographe: Robert Morin, Lac-Saint-Charles, tous droits réservés.
LA SAGESSE
J’ai vu tes rides de maturité
Mais je vais te dire la vérité :
Je t’aurais reconnu entre mille,
Je suis contente de t’avoir vu en ville.
Trois jours de vacances extraordinaires!
Seulement de t’avoir vu dans ma sphère
M’a procuré le plus grand des bonheurs
Même si cela ravive parfois ma douleur.
Je veux toujours rester très optimiste.
C’est pas facile d’être une femme réaliste
Surtout dans un monde aussi libéré.
Que ne ferais-je pour me sentir « aimée »!
Se contenter uniquement de la clairaudience
N’est pas possible pour remplir mon existence.
Ma personne a grand besoin d’affection
Et je suis là à crier vos deux noms.
Dieu existe, chers amis, très chers amours,
Il m’a aidée, croyez-moi, tous les jours.
Vous avez des pouvoirs et de grands dons
Mais une fragilité digne de mention.
Ma force à moi, je ne sais d’où elle vient.
Ma volonté sans nom, ce n’est pas rien.
Attention à ceux que j’aime, c’est ma vie,
Et non, je n’attends d’eux aucun merci.
Le véritable amour sans condition,
Celui qui vient chercher nos émotions,
A atteint mon grand cœur et mon esprit
Je veux te donner mes yeux, mon ami.
Louise Hudon, poétesse du Canada
11 juillet 2010
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