
Photographe: Bryan Trottier, de La Sarre.
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Elles souffrent tous les jours
D’un immense manque d’amour.
Elles semblent si perdues !
Ce sont là nos femmes battues.
La violence des maris
Ou encore celle des amis
Les domine régulièrement
Pour une vie d’isolement.
Cela atteint le mental
Et que dire de ce grand mal.
On connaît un grand brouillard,
C’est assez, on en a marre.
Ne vous faites pas d’illusions.
Quand arrive l’explosion,
La personne peut défaillir.
Difficile de rebâtir.
Mettre un passé en arrière,
Tout en cessant de se taire,
Vidant les larmes du corps
Peut améliorer son sort.
Il faut garder de l’espoir.
On ne voit pas toujours noir.
Quitter ce monde de violence
Ne peut que vous porter chance.
Louise Hudon, poétesse du Canada
24 août 2011
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Quelle souffrance!
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